Titre original Fright Night
Date de sortie 14 septembre 2011
Réalisé par Craig Gillespie
Avec Anton Yelchin , Colin Farrell , Toni Collette
Distributeur Walt Disney Studios Motion Pictures France
Année de production 2011
Pays de production US
Genre Film fantastique

Synopsis

Remake de Vampire, vous avez dit vampire ?Charlie Brewster est au top : élève de terminale parmi les plus populaires, il sort en plus avec la plus jolie fille du lycée. Il est tellement cool qu’il méprise même son meilleur pote, Ed. Mais les problèmes vont arriver avec son nouveau voisin, Jerry. Sous les dehors d’un homme charmant, il y a chez lui quelque chose qui cloche. À part Charlie, personne ne s’en rend compte, et surtout pas sa mère. Après l’avoir observé, Charlie en vient à l’inévitable conclusion que son voisin est un vampire qui s’attaque à leur quartier… Bien sûr, personne ne croit le jeune homme, qui se retrouve seul pour découvrir d’urgence un moyen de se débarrasser du monstre…Existe en version 3D

Toutes les séances de Fright Night

Critiques de Fright Night

  1. Première
    par Martin Kaufman

    Troisième long métrage de Craig Gillespie, ce Fright Night renoue avec l’esprit fun de Vampire, vous avez dit vampire ?, dont il s’inspire et booste chaque aspect. C’est de l’horreur pour rire comme on savait en faire dans les eighties, quelque part entre Jusqu’en enfer et Paranoïak. L’enjeu n’est pas de savoir si Jerry est un vampire ou non, le film évacuant cette question en quelques minutes pour ensuite orchestrer un duel métaphorique et sanglant entre Charley, jeune puceau timide, et Jerry, créature « über sexuelle ». Lequel aura la fille ? L’argument est mince et le film un peu longuet, mais Gillespie manie bien le hors-champ. Quant à Colin Farrell, tout en regards lascifs et roulements de mécaniques machos, il vampirise l’écran.

  2. Première
    par Martin Kaufman

    Troisième long métrage de Craig Gillespie, ce Fright Night renoue avec l’esprit fun de Vampire, vous avez dit vampire ?, dont il s’inspire et booste chaque aspect. C’est de l’horreur pour rire comme on savait en faire dans les eighties, quelque part entre Jusqu’en enfer et Paranoïak. L’enjeu n’est pas de savoir si Jerry est un vampire ou non, le film évacuant cette question en quelques minutes pour ensuite orchestrer un duel métaphorique et sanglant entre Charley, jeune puceau timide, et Jerry, créature « über sexuelle ». Lequel aura la fille ? L’argument est mince et le film un peu longuet, mais Gillespie manie bien le hors-champ. Quant à Colin Farrell, tout en regards lascifs et roulements de mécaniques machos, il vampirise l’écran.