Toutes les critiques de Les révoltés

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Lutte des classes, puissance du désir amoureux, tragédie familiale... En orchestrant à l’échelle personnelle des thématiques universelles, ce premier film se révèle un convaincant thriller social. La dégradation de la condition ouvrière dans une usine des bords de Loire est incarnée par Pavel, un travailleur de 19 ans qui prend conscience de l’emprise du système financier et organise sa propre disparition pour révéler la lente extinction du combat syndical. Le jeune homme a par ailleurs le béguin pour son amie d’enfance, fille de syndicaliste. Ce motif romanesque adoucit partiellement la sécheresse d’un drame lucide et tourmenté.

Les critiques de la Presse

  1. Paris Match
    par Alain Spira

    A la fois thriller social et tragédie prolétarienne, ces "Révoltés" portés par les deux jeunes interprètes ont l'intensité d'un drame paysan, bien usiné.

  2. TLC - Toute la Culture
    par La redaction de TLC

    Magnifié par une photo sauvage, des plans aqueux qui régénèrent le regard et une musique très travaillée, ce film plein de sève et de vie se focalise pleinement sur le beau et jeune couple d’acteurs qui le porte.

  3. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Entre drame social et romance post-ado, un film maladroit mais sincère et attachant.

  4. Libération
    par Clémentine Gallot

    Fragile robinsonade en bords de Loire, ces "Révoltés" viennent trop rapidement à bout de leur souffle romanesque.

  5. Critikat.com
    par Benoît Smith

    (...) une composition soignée, des lignes d’intention intelligentes qui s’expriment mais ne s’incarnent pas vraiment à l’écran, une histoire de révolte où la révolte n’est qu’un accessoire de l’histoire.

  6. Le JDD
    par Danielle Attali

    Ce film est porté par un petit charme brutal et croise combat social, désillusion et histoire d’amour. Réaliste, et aussi par moment poétique.

  7. Le Monde
    par La redaction du Monde

    Le film n’échappe pas, hélas, au manichéisme programmé que son argument fait craindre.

  8. Télérama
    par Nicolas Didier

    Le film se perd irrémédiablement, hélas, dans un mélange de genres (chronique sociale, tragédie familiale, film de survie) pas vraiment habile. Dommage