Date de sortie 6 novembre 2019
Durée 170 mn
Réalisé par Ron Howard
Distributeur CGR events
Année de production 2019
Pays de production Grande-Bretagne, Etats-Unis
Genre Film documentaire
Couleur Couleur

Synopsis

Après l’immense succès de son film Les Beatles : Eight Days A Week – The Touring Years, le réalisateur Ron Howard (Apollo 13, A Beautiful Mind) s’attaque à un autre phénomène musical : Luciano Pavarotti dont il retrace la carrière et le parcours humain, posant un regard aussi profond que non hagiographique sur l’incroyable vie d’une des icônes musicales du XXème siècle. Surnommé « Le Ténor du Peuple », Pavarotti aura été une rare combinaison de génie artistique et de personnalité à la générosité exceptionnelle, se battant autant pour faire découvrir l’Opéra au monde entier que pour soutenir les causes chères à son cœur. Doté d’un talent inouï, d’une sensibilité hors-normes et d’un charisme irradiant, il est devenu un artiste qui aura tout donné pour conquérir les oreilles et le cœur de spectateurs du monde entier. Fruit d’un travail de montage d’archives rares et bluffantes, que complètent la parole de plus de 50 témoins-clés qui s’expriment sans langue de bois et d’exceptionnels arias, bénéficiant d’un son Dolby Atmos à la pointe de la technologie : Pavarotti, sous le regard admiratif de Ron Howard, rend un hommage lucide et bouleversant à un homme et un artiste exceptionnel.

Toutes les séances de Pavarotti

Critiques de Pavarotti

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Territoires, le premier long d’Olivier Abbou, nous avait emballés. En huit ans, le cinéaste n’a rien perdu de sa capacité à créer de l’angoisse par une réalisation tapageuse assumée. Cette fois-ci, il raconte l’histoire d’un couple qui découvre à son retour de vacances que la nounou de leur fils et son mari, à qui ils avaient prêté leur maison, en ont changé toutes les serrures et refusent d’en partir. Débute alors un combat pour récupérer leur bien. D’abord juridique, puis en faisant fi de toute loi autre que celle du talion. Abbou fait monter la sauce avec efficacité, aborde sans trembler les scènes de violence mais montre vite ses limites en termes de psychologie des personnages et de dialogues, avec en toile de fond un rapport à la virilité trop premier degré. Voilà pourquoi Furie n’est jamais aussi efficace que dans le silence et quand la parole est laissée à la caméra.