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Julien Cauvin / TF1
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PHOTOS - Les Ripoux Anonymes : nouvelle jeunesse pour les Ripoux ce soir sur TF1

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Les Ripoux anonymes sur TF1

<strong>Vingt-sept ans après le triomphe des Ripoux, TF1 diffuse ce soir à 20h45 le pilote de <em>Ripoux anonymes</em>, une réalisation de Claude Zidi et son fils Julien mettant aux prises deux flics confrontés à la corruption. Jean-Baptiste Drouet, journaliste à <em>Télé 7 Jours</em>, a rencontré les Zidi père et fils?</strong>pagebreak<strong>Dans ce nouvel opus, vous inversez les rôles des </strong><strong>Ripoux</strong><strong> version 1984 : cette fois, le jeune lieutenant est corrompu et le vieux flic plutôt honnête?</strong><strong>Claude Zidi :</strong> Nous ne voulions pas faire un remake du film avec Philippe Noiret et Thierry Lhermitte. Aussi, avec Julien, avons-nous inversé le postulat du premier duo. Autre nouveauté : Antoine, joué par Laurent Gamelon, est une ex-brebis galeuse en quête de rédemption qui anime "Ripoux Anonymes", un groupe de thérapie où des policiers jadis corrompus viennent témoigner et se soigner. J?ai d?ailleurs tenu à ce que le personnage interprété par Laurent Gamelon n?ait rien à voir avec l?inspecteur René Boisrond joué par Philippe Noiret.pagebreak<strong>Sur TF1, les héros de séries policières sont des modèles d?intégrité. Les dirigeants de la chaîne n?ont pas été un peu effrayés par votre scénario ?</strong><strong>Julien Zidi :</strong> Au contraire, nous avons eu une liberté totale au niveau de l?écriture. La chaîne savait que nous mettions en scène des flics un peu magouilleurs, mais qui ne sombrent pas dans le gangstérisme, ni la violence. Nous sommes restés dans la comédie légère.pagebreak<strong>Pourquoi Simon Michaël, ancien policier à Paris, vous a-t-il aidé à écrire votre scénario ?</strong><strong>Claude Zidi :</strong> Nous avons rédigé la première mouture du scénario que nous avons soumise à Simon Michaël, qui connaît mieux que nous l?argot des flics et leurs habitudes sur le terrain. N?oubliez pas que l?expression "Ripoux" a été inventée par Simon, qui était déjà le scénariste du premier.pagebreak<strong>Ben, le jeune flic joueur de poker, se fait piéger par un cercle de jeux tenus</strong> <strong>par des Russes. À Paris, ce ne sont pas les Corses qui trustent ces établissements ?</strong><strong>Claude Zidi :</strong> Jouant moi-même au poker, je sais que les cercles de jeux parisiens sont souvent gérés par les Corses. Mais, dans l?esprit du grand public, le mot mafia est davantage associé aux Russes. D?où notre choix.pagebreak<strong>C?est votre première expérience de téléfilm. En tant que réalisateur, quelles différences avez-vous constaté avec le cinéma ?</strong><strong>Claude Zidi :</strong> Assez peu de différences, si ce n?est au niveau des rythmes de tournage. Un téléfilm nécessite environ 22 jours de travail, un film au moins deux mois. Mais les moyens matériels des téléfilms sont aujourd?hui assez proches de ceux d?un long-métrage : nous avions sur le plateau deux caméras et une équipe d?une quarantaine de techniciens.pagebreak<strong>Votre scénario innove avec un personnage atypique, un policier hémiplégique, joué par Pascal Légitimus?</strong><strong>Julien Zidi :</strong> Nous avions besoin d?une figure à la fois touchante et drôle qui serve de confident à Laurent Gamelon. Pour être plus crédible, Pascal Légitimus a vécu plusieurs semaines chez lui en fauteuil roulant.pagebreak<strong>Qu?est-ce que votre père, grand réalisateur populaire, vous a transmis comme savoir-faire ?</strong><strong>Julien Zidi :</strong> Le plaisir d?être sur un plateau. J?ai longtemps été assistant sur ses films et il m?a appris à être vraiment détendu et heureux sur un tournage. Contrairement à certains réalisateurs angoissés qui travaillent dans le conflit ou le stress, mon père fonctionne au plaisir. Et cela se sent dans ses films.pagebreak<strong>Interview Jean-Baptiste Drouet pour <em>Télé 7 Jours</em></strong>

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Vingt-sept ans après le triomphe des Ripoux, TF1 diffuse ce soir à 20h45 le pilote de Ripoux anonymes, une réalisation de Claude Zidi et son fils Julien mettant aux prises deux flics confrontés à la corruption. Jean-Baptiste Drouet, journaliste à Télé 7 Jours, a rencontré les Zidi père et fils…Dans ce nouvel opus, vous inversez les rôles des Ripoux version 1984 : cette fois, le jeune lieutenant est corrompu et le vieux flic plutôt honnête…Claude Zidi : Nous ne voulions pas faire un remake du film avec Philippe Noiret et Thierry Lhermitte. Aussi, avec Julien, avons-nous inversé le postulat du premier duo. Autre nouveauté : Antoine, joué par Laurent Gamelon, est une ex-brebis galeuse en quête de rédemption qui anime "Ripoux Anonymes", un groupe de thérapie où des policiers jadis corrompus viennent témoigner et se soigner. J’ai d’ailleurs tenu à ce que le personnage interprété par Laurent Gamelon n’ait rien à voir avec l’inspecteur René Boisrond joué par Philippe Noiret.Sur TF1, les héros de séries policières sont des modèles d’intégrité. Les dirigeants de la chaîne n’ont pas été un peu effrayés par votre scénario ?Julien Zidi : Au contraire, nous avons eu une liberté totale au niveau de l’écriture. La chaîne savait que nous mettions en scène des flics un peu magouilleurs, mais qui ne sombrent pas dans le gangstérisme, ni la violence. Nous sommes restés dans la comédie légère.Pourquoi Simon Michaël, ancien policier à Paris, vous a-t-il aidé à écrire votre scénario ?Claude Zidi : Nous avons rédigé la première mouture du scénario que nous avons soumise à Simon Michaël, qui connaît mieux que nous l’argot des flics et leurs habitudes sur le terrain. N’oubliez pas que l’expression "Ripoux" a été inventée par Simon, qui était déjà le scénariste du premier.Ben, le jeune flic joueur de poker, se fait piéger par un cercle de jeux tenus par des Russes. À Paris, ce ne sont pas les Corses qui trustent ces établissements ?Claude Zidi : Jouant moi-même au poker, je sais que les cercles de jeux parisiens sont souvent gérés par les Corses. Mais, dans l’esprit du grand public, le mot mafia est davantage associé aux Russes. D’où notre choix.C’est votre première expérience de téléfilm. En tant que réalisateur, quelles différences avez-vous constaté avec le cinéma ?Claude Zidi : Assez peu de différences, si ce n’est au niveau des rythmes de tournage. Un téléfilm nécessite environ 22 jours de travail, un film au moins deux mois. Mais les moyens matériels des téléfilms sont aujourd’hui assez proches de ceux d’un long-métrage : nous avions sur le plateau deux caméras et une équipe d’une quarantaine de techniciens.Votre scénario innove avec un personnage atypique, un policier hémiplégique, joué par Pascal LégitimusJulien Zidi : Nous avions besoin d’une figure à la fois touchante et drôle qui serve de confident à Laurent Gamelon. Pour être plus crédible, Pascal Légitimus a vécu plusieurs semaines chez lui en fauteuil roulant.Qu’est-ce que votre père, grand réalisateur populaire, vous a transmis comme savoir-faire ?Julien Zidi : Le plaisir d’être sur un plateau. J’ai longtemps été assistant sur ses films et il m’a appris à être vraiment détendu et heureux sur un tournage. Contrairement à certains réalisateurs angoissés qui travaillent dans le conflit ou le stress, mon père fonctionne au plaisir. Et cela se sent dans ses films. Interview Jean-Baptiste Drouet pour Télé 7 Jours