Toutes les critiques de L'Odeur de la Mandarine

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gaël Golhen

    Il y a deux façons d’apprécier "L’Odeur de la mandarine". On peut le voir comme une histoire d’amour sur fond de Première Guerre mondiale solide (merci à Olivier Gourmet) et académique (merci Yves Angelo, directeur de la photo). On peut aussi décider d’écouter le murmure du film, s’intéresser à son sujet délicat : le portrait de deux amputés (lui de sa jambe, elle du père de sa fille), incapables de se débarrasser de leurs fantômes et cheminant tant bien que mal vers la lumière. Ce récit subtil sur le deuil et le désir décrit comment la maîtrise des sentiments et le retour du corps dans un univers corseté et désincarné amènent à une progressive renaissance.

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    (...) une réussite de mise en scène et d'interprétation.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    (...) une réussite de mise en scène et d'interprétation.

  3. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    C'est finalement de sexualité dont traite ce beau poème champêtre.

  4. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Chaque scène, en intérieur, ou dans une nature teintée de féerie, séduit par sa qualité d'écriture et sa tension sensuelle, magnifiée par la photo d'Yves Angelo.

  5. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    C'est finalement de sexualité dont traite ce beau poème champêtre. 

  6. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Chaque scène, en intérieur, ou dans une nature teintée de féerie, séduit par sa qualité d'écriture et sa tension sensuelle, magnifiée par la photo d'Yves Angelo. 

  7. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Tournant sans l’affronter vraiment autour du mystère du plaisir féminin, ce beau film trouve, en dépit de ses maladresses, autant d’intensité dramatique que d’élégance.

  8. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Tournant sans l’affronter vraiment autour du mystère du plaisir féminin, ce beau film trouve, en dépit de ses maladresses, autant d’intensité dramatique que d’élégance.

     

  9. Le Figaro
    par François Aubel

    Grâce au talent si singulier de Georgia Scalliet, pensionnaire du Français, le film de Gilles Legrand trouve une modernité inespérée.

  10. Le Figaro
    par François Aubel

    Grâce au talent si singulier de Georgia Scalliet, pensionnaire du Français, le film de Gilles Legrand trouve une modernité inespérée.

  11. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) la puissance de la prestation de Georgia Scalliet est l’un des points forts d’un film sensible.

  12. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) la puissance de la prestation de Georgia Scalliet est l’un des points forts d’un film sensible.

  13. Le JDD
    par Barbara Théate

    Si le mélo historique sombre un peu dans la mièvrerie romantique, on se régale du jeu de l’amour joyeusement libertin auquel se livrent le débonnaire Olivier Gourmet et la belle Georgia Scalliet

  14. Les Inrocks
    par Théo Ribeton

    (...) seule subsiste l’interprétation d’Olivier Gourmet, roue de secours d’un film dont le sang ne palpite que trop faiblement comparé à ses ambitions mélodramatiques (...)

  15. Les Inrocks
    par Théo Ribeton

    (...) seule subsiste l’interprétation d’Olivier Gourmet, roue de secours d’un film dont le sang ne palpite que trop faiblement comparé à ses ambitions mélodramatiques (...)

  16. A voir à lire
    par Marc Quaglieri

    Le mélange de ton, dans cette oeuvre où le corps exalte le désir et qui tend in fine vers plus de gravité, déroute, mais l’on se consolera par le jeu remarquable d’Olivier Gourmet dans un rôle fort qu’il interprète magnifiquement, face à Georgia Scalliet, plus démonstrative et donc théâtrale.

  17. A voir à lire
    par Marc Quaglieri

    Le mélange de ton, dans cette oeuvre où le corps exalte le désir et qui tend in fine vers plus de gravité, déroute, mais l’on se consolera par le jeu remarquable d’Olivier Gourmet dans un rôle fort qu’il interprète magnifiquement, face à Georgia Scalliet, plus démonstrative et donc théâtrale.

  18. Le JDD
    par Barbara Théate

    Si le mélo historique sombre un peu dans la mièvrerie romantique, on se régale du jeu de l’amour joyeusement libertin auquel se livrent le débonnaire Olivier Gourmet et la belle Georgia Scalliet (...)