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Comme chaque matin, l'imitateur Nicolas Canteloup, croque avec humour et férocité les grands faits d'actualité. L'un de ses cibles favorites, un collègue, Jean-Pierre Elkabbach. Mais ce matin, resté dans le studio, ce dernier a tenté de donner la leçon à l'humoriste.

Comme chaque matin, l'imitateur Nicolas Canteloup, croque avec humour et férocité les grands faits d'actualité. L'un de ses cibles favorites, un collègue, Jean-Pierre Elkabbach. Mais ce matin, resté dans le studio, ce dernier a tenté de donner la leçon à l'humoriste. Chaque matin, dans la Revue de presque, Nicolas Canteloup amuse tous les auditeurs d'Europe 1. Avec son style justement inimitable, l'imitateur se moque avec férocité de personnalités. Malheur aux personnes dont il parvient à saisir le timbre ! En effet, ils deviennent très des têtes de turc pour lui.Parmi ses cibles privilégiées se trouve Jean-Pierre Elkabbach, un collègue ! Nicolas Canteloup aime se moquer du journaliste et son supposé goût du luxe, et ses habitudes à la Mamounia, un palace de Marrakech.Mais voilà, ce matin, le journaliste était décidé à remettre l'humoriste à sa place. Il est resté dans le studio pour l'écouter. Après une première salve avec la voix de Jean-Pierre Elkabbach en début d'intervention, l'imitateur revient à la charge avec la voix d'Aimé Jacquet cette fois-ci. Dès lors, le journaliste ne peut que réagir. Il essaye de le faire avec humour : "J'en ai assez d'entendre parler de la Mamounia ! La répétition Nicolas, c'est une forme de légèreté et d'imagination sclérosée. Attention à l'agnosognosie ! Il faut évoluer mon vieux".Déstabilisé, Nicolas Canteloup parvient tout de même à continuer son sketch, en lançant un cinglant et ironique "c'est moins drôle que l'intervention de Jean-Pierre, mais c'est drôle aussi"...Sentant la tension dans le studio, Julie se sent obligée de dire "remettez-vous Jean-Pierre, c'est pas méchant"...Interrogé dans le Grand Direct des médias, Jean-Pierre Elkabbach a tenu à préciser que tout ceci n'était qu'un jeu entre les deux hommes, même si "il faut arrêter de dire qu'[il] passe son temps à la Mamounia. Je n'y vais plus. D'une part, car c'est trop cher, et d'autre part car les travaux de restauration ont été ratés".