Direction la Tanzanie pour l’ex-présentatrice de Zone Interdite le 21 janvier prochain. Partie à la rencontre des Maasaï, Melissa Theuriau a confié à Télé 7 Jours avoir reçu une "vraie leçon de vie".

Après François-Xavier Demaison, c’est au tour de Melissa Theuriau de faire confiance les yeux fermés à Frédéric Lopez pour un voyage humain et inédit. La jolie présentatrice de M6, reconvertie dans la production de reportage, a en effet accepté de se laisser emmener en Tanzanie pour découvrir le quotidien presque inconnu d’un peuple connu : les Maasaï. Interrogée par Télé 7 Jours, elle raconte : "Frédéric Lopez est un ami. Il me répétait souvent : "Un jour, on le fera." On l’évoquait sur le ton de la plaisanterie… jusqu’à ce que ça devienne plus sérieux. J’ai senti que c’était le bon moment pour moi. Je n’étais plus à l’antenne, je n’avais pas de tournage. Même en baroudant, il est impossible de vivre une telle aventure. C’est une chance unique que j’avais envie de saisir."Ses plus grandes peurs : "l’intrusion des caméras" et le fait de ne pas comprendre l’autre. Elle confie ainsi : "Est-ce que les caméras n’allaient pas tout gâcher ? Allais-je parvenir à les oublier ? J’étais très excitée de partir avec ce côté génial de ne rien avoir préparé, mais je craignais aussi de ne pas être comprise par ceux que j’allais rencontrer. Où qu’on aille, il y a toujours un monde qui nous sépare." Mais ces quelques appréhensions ont rapidement été oubliées par Melissa Theuriau qui avoue notamment avoir été "comme une gamine dans la savane".Mais cette expérience, loin d’être une promenade de santé, n’a pas été de tout repos pour la jeune femme : "Les premiers jours ont été éprouvants. On dort mal, on ne se lave pas, on mange mal. (…) Je suis un peu sportive, mais quand nous avons dû marcher huit heures d’affilées sous 40° pour aller voir les cultures de maïs en altitude, j’étais à bout de forces. (…) Chez eux tout n’a de sens que dans le partage, une notion simple que nous avons perdue. Ils ne sont pas aliénés par la hiérarchie. Ils ont également compris qu’en respectant la Terre, on peut en vivre. (…) C’est une belle leçon de vie."Accueillie à bras ouvert par les Maasaï, Melissa Theuriau a noué des liens particuliers avec les enfants. "Ils ont été mon moteur, explique-t-elle. Ils n’avaient jamais vu de femme blanche, mais ils m’ont rapidement adoptée. Ils venaient me réveiller, se blottissaient contre moi. Mes propres enfants ne m’ont pas manqué."