Après l’annonce de son départ du Canal Football Club pour I>télé, Isabelle Moreau s’est confiée sur son nouveau challenge devant la caméra de Marc Libbra, dans une vidéo postée sur le blog Wizee de l'ancien footballeur. Découvrez ses confidences en images.
Après l’annonce de son départ du Canal Football Club pour I>télé, Isabelle Moreau s’est confiée sur son nouveau challenge devant la caméra de Marc Libbra, dans une vidéo postée sur le blog Wizee de l'ancien footballeur. Découvrez ses confidences en images. Exit Canal+ pour Isabelle Moreau. La journaliste qui officiait chaque dimanche soir sur le plateau du Canal Football Club aux côtés de Hervé Mathoux et Pierre Menès, part pour de nouvelles aventures direction I>télé afin de s’attaquer à un morceau de choix : l’information généraliste.Après l’annonce de ce départ, faite le 8 juin dernier, Isabelle Moreau s’exprime enfin dans une vidéo signée Marc Libbra, ancien joueur de football et consultant pour Canal+, postée sur son blog Wizee. L'occasion pour elle de dévoiler les raisons de son départ: "J’ai passé 3 ans à Canal Football Club, je pense avoir fait le tour, l’avoir bien fait, l’avoir bien vécu, à un moment il faut se lancer, il faut se faire plaisir."Isabelle Moreau concrétise avec ce départ l’un des rêves : travailler dans l’information généraliste. Entre excitation et nostalgie, le virage professionnel de la désormais ex-journaliste sportive s’amorcera dans quelques semaines : "De la nostalgie parce que c’est 10 ans passés dans le sport, l’Equipe TV, Infosport, Canal, les copains dans la rédaction, dans le foot mais en même temps beaucoup d’excitation, d’envie et de curiosité parce que ça fait longtemps que je voulais faire les infos génés (généralistes ndlr). Je pars une bonne année (…) et une année de présidentielle c’est assez irrésistible."Après trois ans de bons et loyaux services, Isabelle Moreau laisse donc sa place au sein de l’équipe du Canal Football Club. Une nouvelle présence féminine viendra enrichir l’émission footballistique du dimanche soir en la personne d’Astrid Bard, une ex-journaliste d’Europe 1.
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