Demon slayer le train de l’infini : une animation à couper le souffle [critique]
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Les pourfendeurs règnent sur le box-office !

Avant de commencer, un peu de contexte : écrit par une star du genre, Demon slayer est un manga qui fait fureur (la série a dépassé les 150 millions d’exemplaires vendus dans le monde). L’histoire se déroule durant l’ère Taisho (1912-1926) et raconte la quête de Tanjirō, un jeune garçon orphelin à la recherche d’un remède pour soigner sa sœur, Nezuko, transformée en démon qui choisiront la voie des pourfendeurs. Son épopée, furieuse et fantastique, a fait l’objet d’une adaptation en série puis au cinéma avec ce Demon slayer le train de l’infini. Quand le film commence, nos deux héros et leurs amis montent à bord d’un train fantastique (le fameux train de l’infini) et sont chargés d’une mission délicate : éliminer un démon qui sévit à travers les wagons et qui en est déjà à 40 victimes...

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Sorti le premier mercredi de la réouverture des salles en France, ce manga a tout de suite battu des records de fréquentation. Normal : la beauté des combats et l’intensité du scénario ne pouvaient que satisfaire les fans. Les musiques (et la voix de la chanteuse LiSA) sont épiques et l’animation est très spectaculaire. Au point de provoquer des frissons… Mais pas que : Demon slayer bénéficie également d’un script émouvant qui rappelle souvent l’importance et la beauté de la vie humaine. Un conseil tout de même : n’espérez pas découvrir cet univers fabuleux avec ce film. Demon slayer est la suite directe de la saison 1 – à voir seulement uniquement après le manga au risque de se perdre !

Note de la rédaction : ⅘ Par Gaspard Raimbaud

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