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A partir du jeudi 13 juin, Paris Première diffusera trois des meilleurs films de Matt Damon. A cette occasion, les téléspectateurs pourront (re)découvrir Will Hunting, Le talentueux Mr Ripley et Raison d’Etat.

Paris Première propose à ses téléspectateurs de redécouvrir Matt Damon. A cette occasion, la chaîne du groupe M6 va diffuser trois de ses meilleurs films en prime-time, lors de trois soirées différentes. Le 13 juin, Paris Première diffusera Will Hunting de Gus Van Sant. Dans ce film, Matt Damon incarne le personnage principal Will Hunting, qui est un véritable génie, mais qui choisit très tôt d’arrêter ses études préférant fréquenter les bars  malfamés avec ses amis. Un jour, ses dons exceptionnels  en mathématiques finissent par attirer l’attention d’un  grand professeur du MIT de Boston qui décide de  prendre en charge le jeune rebelle.Le jeudi suivant, 20 juin, la chaîne proposera à ses téléspectateurs de visionner Raisons d’Etat, réalisé par Robert de Niro. Pour Edward Wilson (Matt Damon), seul témoin du suicide de son père, l’honneur et la discrétion sont des valeurs primordiales. Ces qualités lui valent son recrutement au sein de la CIA. Influencé par l’ambiance paranoïaque qui règne dans toute l’agence, l’homme devient de plus en plus suspicieux. Son obsession du travail va lui coûter cher, l’éloignant chaque jour de ses proches, notamment de sa femme jouée par Angelina Jolie, et de ce qu’il était. Un film que nous avions apprécié : "Raisons d'Etat brusque habilement la chronique du récit. Tire le meilleur parti de son gros boulot de documentation. Entraîne dans un labyrinthe aussi tortueux que les manigances des services secrets. Sans aucune forfanterie formelle." Lire l’ensemble de la critique ici.Enfin, le jeudi 27 juin, la chaîne diffusera Le talentueux Mr Ripley, d'Anthony Minghella. Ici, Jude Law incarne Dickie Greenleaf. Être jeune, riche et insouciant dans les eaux bleues et les paysages idylliques de l'Italie de la fin des années 1950 : c'est la dolce vita qu’il mène grâce à la fortune de son père, en compagnie de Marge Sherwood (Gwyneth Paltrow). Plutôt irrité par ce comportement irresponsable, Herbert Greenleaf (James Rebhorn), demande à Tom Ripley (Matt Damon) de ramener son fils en Amérique. Le jeune homme, d'origine modeste, découvre un monde éblouissant. Personne ne soupçonne jusqu'où il va être capable d'aller pour s'approprier cette vie de rêve. Mais ce film n’a pas plus à nos confrères de Fluctuat : "tous les ingrédients y sont : de gros moyens, de bons acteurs, de belles images, la reprise de standards du jazz... Mais le film n'accède pas au statut d'œuvre d'art seulement par la mise bout à bout de jolis plans. Il manque l'étincelle qui aurait fait de cette deuxième adaptation une œuvre à part entière. Car dans ce long film de 2h14, lisse comme les eaux pleines de vase de Venise, Minghella perd son spectateur." Lire l’intégralité de la critique ici.