Titre original Chimpanzee
Date de sortie 20 février 2013
Durée 78 mn
Réalisé par Mark Linfield, Alastair Fothergill
Scénariste(s) Mark Linfield, Alastair Fothergill, Don Hahn
Distributeur Walt Disney Pictures France
Année de production 2012
Pays de production Etats-Unis
Genre Film documentaire
Couleur Couleur

Synopsis

Dans une forêt d’Afrique équatoriale, oscar, un bébé chimpanzé, découvre la vie. Elevé par sa mère, au milieu de son clan, il apprend l’usage des outils, part à la recherche de la nourriture, et explore la nature alentour. Avec lui, nous découvrons les relations sociales entre ces grands singes, si proches de l’homme.Le groupe, dirigé par Freddy, l’alpha mâle expérimenté, s’aventure sur les terres du clan voisin pour trouver les fruits essentiels à sa survie. Mais ces incursions sont périlleuses et entraine des guerres fratricides. Au cours de l’une d’entre elle, la mère d’oscar est portée disparue. oscar est désormais seul, et condamné. Son seul espoir : trouver une famille d’adoption.Tourné au fil des mois dans des conditions extrêmes, Chimpanzés raconte une histoire vraie, unique, inventée par la nature.

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Critiques de Chimpanzés

  1. Première
    par Gael Golhen

    Respectant à la lettre la charte Disney Nature, Chimpanzés est un documentaire hybride. Sidérante, la partie National Geographic immerge le spectateur dans la jungle africaine grâce à des plans d’une beauté à couper le souffle. Cadres forts, travellings extrêmes à travers les lianes ou au-dessus des cours d’eau, tout ici est question de style. Celui des cinéastes, mais surtout celui des « acteurs » : émouvants, violents, racés, les singes de Chimpanzés ont du chien, et les réalisateurs réussissent à capter la routine de leur vie quotidienne avec acuité et tendresse. Pourtant, comme toujours, le tout est enrobé d’un commentaire anthropomorphique un peu mièvre, et l’arc narratif « disneyfie » tellement
    les animaux qu’on s’attendrait presque à les voir entonner un tube d’Alan Menken. Mais l’incroyable présence d’Oscar (showman-né, aux grands yeux tristes et au sourire malicieux) et l’idée que l’Éden n’est jamais bien loin des Enfers (la violence sauvage côtoie des visions paradisiaques) suffi sent à rendre ce documentaire passionnant.