Toutes les critiques de Je suis à vous tout de suite

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Comme ses parents, Hanna a un drôle de syndrome : elle ne sait pas dire non. Elle en vient même à se prostituer par "gentillesse", tandis que son frère, lassé des moqueries sur ses convictions religieuses, se radicalise. De ce postulat aussi drôle qu’intrigant, la coscénariste du "Nom des gens" et d’"Hippocrate" tire une comédie atypique, vivante, bordélique, bourrée de répliques bien senties et de situations décalées. Prolongement de "J’aurais pu être une pute", son court métrage avec, déjà, la formidable Vimala Pons, "Je suis à vous tout de suite" pose un regard plein d’indulgence sur la société française, ce qui, par les temps qui courent, ne se refuse pas.

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    (...) cette comédie ne lésine pas sur les ingrédients et flirte constamment avec la dispersion. Si la greffe prend, c'est grâce à Vimala Pons, actrice pétillante façon fines bulles.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    (...) cette comédie ne lésine pas sur les ingrédients et flirte constamment avec la dispersion. Si la greffe prend, c'est grâce à Vimala Pons, actrice pétillante façon fines bulles. 

  3. Paris Match
    par Alain Spira

    Drôle, intelligente et débordante d'humanité, cette comédie de mœurs n'hésite pas à étaler son humour sur un fond de tragédie.

  4. Paris Match
    par Alain Spira

    Drôle, intelligente et débordante d'humanité, cette comédie de mœurs n'hésite pas à étaler son humour sur un fond de tragédie. 

  5. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    La mise en scène de Kasmi pousse à l'extrême l'absurdité de chaque situation, et fait des étincelles. S'y ajoute une réflexion sur la deuxième génération issue de l'immigration.

  6. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    La mise en scène de Kasmi pousse à l'extrême l'absurdité de chaque situation, et fait des étincelles. S'y ajoute une réflexion sur la duxième génération issue de l'immigration.

  7. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) un film conçu pour s’aérer la tête intelligemment tout en offrant une séance de gymnastique à ses zygomatiques.

  8. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    (...) un film conçu pour s’aérer la tête intelligemment tout en offrant une séance de gymnastique à ses zygomatiques.

  9. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

     Pour son premier long, Baya Kasmi a réussi la légèreté. Et c’est réconfortant.

  10. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Après avoir co­écrit "Le Nom des gens", de Michel ­Leclerc, Baya Kasmi confirme son ton bien à elle, léger et gonflé, dans cette comédie dramatique pleine de constats vivifiants sur une société minée par l'égoïsme et le communautarisme.

  11. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Après avoir co­écrit Le Nom des gens, de Michel ­Leclerc, Baya Kasmi confirme son ton bien à elle, léger et gonflé, dans cette comédie dramatique pleine de constats vivifiants sur une société minée par l'égoïsme et le communautarisme. 

  12. Le Monde
    par Noémie Luciani

    A l’image de son héroïne, cette comédie qui n’est légère qu’en apparence trébuche plus d’une fois en chemin. Mais le portrait de femme qu’elle propose, porté par la belle Vimala Pons dans le rôle principal, est aussi original que touchant.

  13. Le JDD
    par Danielle Attali

    L’identité, la croyance, le sexe, l’amour… tout y passe avec l’envie de tout dire au risque, – c’est parfois le cas – d’en dire trop. Mais on aime bien cette comédie drôle, conciliante et farfelue qui met le doigt sur des problèmes qui nous concernent.

  14. Le Point
    par La rédaction du Point

    La caricature n'est pas loin, mais la bonne humeur l'emporte. (...) les situations invraisemblables se succèdent avec légèreté et couleur.

  15. Le JDD
    par Danielle Attali

    L’identité, la croyance, le sexe, l’amour… tout y passe avec l’envie de tout dire au risque, – c’est parfois le cas – d’en dire trop. Mais on aime bien cette comédie drôle, conciliante et farfelue qui met le doigt sur des problèmes qui nous concernent. Avec en plus une bonne dose de tendresse… bordel! 

  16. Le Monde
    par Noémie Luciani

    A l’image de son héroïne, cette comédie qui n’est légère qu’en apparence trébuche plus d’une fois en chemin. Mais le portrait de femme qu’elle propose, porté par la belle Vimala Pons dans le rôle principal, est aussi original que touchant.

  17. Le Point
    par Sixtine Lys

    La caricature n'est pas loin, mais la bonne humeur l'emporte. (...) les situations invraisemblables se succèdent avec légèreté et couleur.

  18. Libération
    par Clémentine Gallot

    Jouant de l’acrimonie entre un frère dévot et une sœur libérée, cette comédie interconfessionnelle à la mise en scène pas toujours à la hauteur de ses ambitions pâtit aussi d’une campagne de com douteuse : "Rien de tel que la religion pour fâcher une famille", lit-on sur les affiches.

  19. Libération
    par Clémentine Gallot

    Jouant de l’acrimonie entre un frère dévot et une sœur libérée, cette comédie interconfessionnelle à la mise en scène pas toujours à la hauteur de ses ambitions pâtit aussi d’une campagne de com douteuse : Rien de tel que la religion pour fâcher une famille, lit-on sur les affiches.

  20. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    Pour son premier long, Baya Kasmi a réussi la légèreté. Et c’est réconfortant.

  21. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Les gags tombent à plat, et la gêne l'emporte quand elle greffe à ses diverses sous-intrigues une histoire de pédophilie. (...) Une comédie qu'on oubliera bien vite.

  22. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Les gags tombent à plat, et la gêne l'emporte quand elle greffe à ses diverses sous-intrigues une histoire de pédophilie.  (...) Une comédie qu'on oubliera bien vite.

  23. Metro
    par Mehdi Omaïs

    On regrettera hélas que le scénario s’embarrasse de sous-histoires inutiles qui ruinent considérablement le tableau. In fine, le spectateur se noie progressivement dans un flot ininterrompu d’informations. De quoi l’éloigner et/ou l’assommer.

  24. Metronews
    par Mehdi Omaïs

    On regrettera hélas que le scénario s’embarrasse de sous-histoires inutiles qui ruinent considérablement le tableau. In fine, le spectateur se noie progressivement dans un flot ininterrompu d’informations. De quoi l’éloigner et/ou l’assommer.