L'île des miam-nimaux : tempête de boulettes géantes 2

Cette suite pousse encore plus loin le délire et l’univers loufoque du premier volet. Après avoir pastiché la SF des années 50, les auteurs détournent ici le film d’aventures et d’exploration façon Jurassic
Park – plusieurs fois cité –, qui devient le terrain de jeu des idées les plus folles. D’une cheddaraignée aux gambabouins, des hippopatates aux oignondicus, jusqu’à Fraizy, la fraise complètement craquante, faune et flore réinventées sont aussi drôles que poétiques. Si le monde des miam-nimaux emporte l’histoire vers des sommets d’inventivité et de comédie, on retrouve avec plaisir des personnages attachants et un peu dingues comme Sam Sparks, la présentatrice météo casse-cou, ou Earl, le policier qui ne fait confiance qu’aux poils de son torse. Filant à une vitesse folle, multipliant parfois dans le même plan différents types de gags, cette Tempête de boulettes géantes 2 est une aventure familiale totalement azimutée à consommer sans modération.

L’animation est créative, les dialogues sont vifs, le ton enjoué et drôle même si le repas n’est pas tout à fait complet.

Mettez de côté vos idées sur ce qui est logique et réel et laissez vous emporter pendant 90 minutes par un monde coloré crée par Cody Cameron, Kris Pearn et leur équipe.

De nouveaux cuisiniers, ce 2ème volet est un repas tout aussi délicieux, de nouveaux ingrédients pour une recette de famille qui fonctionne bien.

Cette délicieuse nouvelle édition suit la même recette que celle de 2009.

Malin comme un singe (même deux en réalité), ce film d’animation se montre tout aussi farfelu que le précédent et vise souvent juste, malgré une abondance de jeux de mots simplistes qui finissent par peser sur l’estomac. Mais le boulimique d’animation y trouvera largement son compte et ne regrettera pas cette escapade sur l’île des Miam-nimaux...

Si vous comptez sur des films pour garder vos enfants distraits pendant une heure et demie, Tempête de Boulettes Géantes 2 est un chef-d'oeuvre.

Parfois si étrange, si coloré et si charmant que c’est un peu le yellow submarine de la nouvelle génération.

L'Ile des Miam-Nimaux est un film qui se savoure dans les détails. Pour le technophile, dans la formidable palette d'effets d'animation ; pour le griffonneur compulsif, dans l'inventivité du trait et des bestioles, dont chacune a son expressivité singulière ; Pour tous, à l'arrière-plan de l'action, le singe Steve qui fait sans cesse quelque bêtise… Chacun devrait pouvoir trouver dans l'Ile des Miam-Nimaux une friandise à son goût.

C'est totalement halluciné et cela plaira aux petits. Le côté bande-originale faite par Paul McCartney est raccord.

Bruyant, bizarre et chaotique, tout ce que les enfants aiment.

Visuellement, c'est une réussite avec une 3D fluide, des couleurs éclatantes et des bestioles originales. Quant aux dialogues, ils sont délicieusement loufoques et teintés de jeux de mots croustillants. Un bonbon acidulé pour toute la famille.

Drôle, enlevé et incroyablement divertissant (l’effet de surprise du premier en moins), ce cartoon Sony ne déçoit pas. Espérons que les créateurs gardent leur liberté et cette incroyable fraîcheur. La surdose d’animation 3D qui inonde les écrans tous les mois rend encore plus salutaire ce délire bon enfant.

Nettement meilleur que le premier sous tous ses aspects.

Un film unique en son genre, certaines séquences nous renvoient vers l’âme de l’original.

Rien de transcendant au niveau du scénario mais c’est un superbe festival de démence gastronomique.

Cette suite rend hommage à Jurassic Park, de Steven Spielberg, mettant en scène un univers bariolé, totalement surréaliste, peuplé de créatures hybrides, croisements entre des animaux et des aliments. Sur un scénario classique, ce film d'animation fait mouche grâce à son humour mordant, son ingéniosité, son souci du détail.

Concourant dans la catégorie des pires titres de l’année, la suite de Tempête de boulettes géantes est techniquement impressionnant. L’histoire geek, en revanche passe moins bien...

Un nouvel effort mais tout comme le titre du film, toute l’imagination et la créativité a déjà été utilisée dans le 1er volet.

Nettement moins bon que le premier. Restent quelques gags bien débiles et un univers visuel très réussi.

Si, côté scénario et animation, on reste sur notre faim, la profusion de gags et la galerie de bestioles délirantes assurent le show. Petits et grands craqueront à la vue des flamangues, des tacodiles et des hippopatates…

Le ton déjanté et cette frénésie qui règne suffisent à faire de Tempêtes de boulettes géantes 2 un film satisfaisant.

Pas aussi délicieux que l’original, mais le choix des voix et la horde de personnages surprenants nous permettent de déguster un mets savoureux.

Un film drôle, même si il est parfois un peu chaotique

Un nouveau volet, joyeux et psychédélique.

Trop paresseuse, cette suite manque d'humour et déçoit, malgré le plaisir de découvrir d'étonnantes espèces.

"Tempête de boulettes géantes 2" n’a presque aucune des qualités de son prédécesseur. Dans les limites qu’il se pose – celle d’un film destiné au tout jeune public –, le film parvient pourtant à tenir ses maigres promesses.

La même recette nocive pour les gosses dégénérés : beaucoup de bruit, de la musique pop et des blagues qui ne volent pas haut.

Une perte de temps qui fera un tabac dans les foyers.