Toutes les critiques de Les Brasiers de la Colère

Les critiques de la Presse

  1. Richard Roeper.com
    par Richard Roeper

    Un des meilleurs films de l’année.

  2. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    « Les Brasiers de la colère » rappelle par son atmosphère âpre et ses personnages authentiquement américains, le fantastique « Voyage au bout de l’enfer » de Michael Cimino. Il fait aussi penser aux chansons de Bruce Springsteen vantant le courage ordinaire de la classe ouvrière.

  3. Toutlecine.com
    par La rédaction de Toutleciné.com

    Véritable coup de cœur pour cette plongée intense et saisissante au cœur d'un rêve américain déclinant, avec pour scénariste et réalisateur, le prometteur Scott Cooper et Leonardo DiCaprio à la production... Après un succès fulgurant avec son premier film Crazy Heart, Scott Cooper récidive avec brio. Un thriller réaliste avec des thèmes universels tel l'espoir et la famille.

  4. Voici
    par Ariane Valadié

    La veine social de ce drame bouleversant, loin d'être un effet de mode, est sincère et brûlante. Beau casting de gueules et de talents, sans esbroufe.

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Christian Bale est éblouissant dans Les Brasiers de la colère de Scott Cooper. (...) Un thriller au suspense dopé à l’adrénaline.

  6. Seattle Times
    par Moira MacDonald

    On sait déjà où le réalisateur va nous emmener mais, grâce aux acteurs, le voyage en vaut la peine.

  7. Minneapolis Star Tribune
    par Colin Cobert

    Un film sinistre accompagné d’un suspense solide, rien de plus.

  8. Chicago Tribune
    par Michael W. Phillips Jr

    Un film réussi, scindé en 2, une partie excellente, l’autre plutôt mordante.

  9. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Voici une classique descente aux enfers sur un terrain bien poisseux, avec des rôles de poissards comme les affectionnent Christian Bale et Casey Affleck. Les Brasiers de la colère n’y va pas avec le dos de la cuillère, certes, mais suinte la sueur et le sang, et colle à la peau de ce casting impressionnant allant de Woody Harrelson en truand ultra-violent à Forest Whitaker en flic conciliant.

  10. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Scott Cooper offre à un Christian Bale exceptionnel son rôle le plus poignant.

  11. Télérama
    par Pierre Murat

    Deux frères : l'un travaille dans une ville industrielle en crise. L'autre participe, pour survivre, à des combats à main nue. Un jour, il disparaît... Un film sur la solidité du clan familial et la violence omniprésente en Amérique. Inquiétant...

  12. NewYorker
    par David Demby

    Ce film est doté d’une force austère indéniable mais la réalisation est profondément basique et mysogine, d’autant plus qu’il est très violent.

  13. Public
    par Florence Roman

    Sur fond de misère sociale dans une ville minière sinistrée, Christian Bale nous prouve qu'il fait très bien l'accent péquenaud.

  14. Globe and Mail
    par Liam Lacey

    Si l’intrigue est plutôt pessimiste et galvaudée, le film est sauvé par la qualité des performances des personnages principaux.

  15. Libération
    par Bruno Icher

    le film n’a rien de ridicule, mais déroule sa partition comme un exercice de style vaguement mécanique où il s’agit d’appuyer à intervalles réguliers sur le bouton «émotion» pour faire tenir l’ensemble debout.

  16. Newark Star-Ledger
    par Stephen Whitty

    Des moments agréables mais ce n’est pas un bon film pour autant.

  17. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Si le propos est parfois trop appuyé et attendu, il émane de l'ensemble une force et une honnêteté indéniables.

  18. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Assez manichéen d'abord dans son portrait de Russell (Christian Bale), le film prend un virage cynique trop prévisible pour être déconcertant, mais dont l'absolue noirceur interpelle.

  19. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Cette chronique de l'Amérique profonde met à nu des personnages qui se débattent contre l'adversité et la fatalité. Sa vision, réaliste, crue, impitoyable, permet à ses comédiens, formidables gueules cassées, de changer de registre.

  20. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Les interprètes sont tous impeccables. Mais si le film est correctement exécuté, il n'a rien d'inédit à nous offrir.

  21. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    Scott Cooper parvient à trouver parfois l'équilibre entre pamphlet social et critique acerbe des fondations de la société américaine. Sa vision reste cependant ambiguë.

  22. Toronto Star
    par Peter Howell

    De bons acteurs plutôt méritants d’accepter de jouer dans un film au scénario médiocre.

  23. Vulture
    par David Edelstein

    Un film que nous sommes obligés de prendre au sérieux puisqu’il se prend lui-même très au sérieux.

  24. Critikat.com
    par Josué Morel

    Le deuxième film de l’acteur-réalisateur Scott Cooper rêve de greffer l’ampleur romanesque de James Gray à une radioscopie de la crise américaine. Raté : sa tentative ressemble davantage à un pénible et sentencieux décalque rural de l’affreux Cogan, la mort en douce.

  25. L'Express
    par Christophe Carrière

    Le propos sociomélo-pathos du réliasateur Scott Cooper n'a rien d'original et son ambition vire très vite à la prétention.

  26. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Que choisir entre la justice légale et l’autodéfense ? A cette question, qui n’en finit plus d’obséder le cinéma américain, Scott Cooper préfère ne surtout pas répondre, entretenant une fausse confusion morale qui lui permet d’exploiter les conventions du vigilante movie jusqu’à un final ultra-complaisant.

  27. NPR
    par Mark Jenkins

    Un drame étrangement mené et prévisible.

  28. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Porté par de nombreuses célébrités, ce drame social sur fond d’Amérique en crise vire au polar glauque et sans intérêt.

  29. Evene
    par Etienne Sorin

    Scott Cooper montre que s'il a un petit talent de metteur en scène, il n'est franchement pas un scénariste de génie.

  30. Charlie Hebdo
    par Jean-Baptiste Thoret

    Un film profondément académique, habilement recouvert par les signes obligés du temps et un froncement de sourcils permanent. Le récit suit exactement la même pente dépressive voire tragique, et le scénario veut tout épingler.