Titre original Laavor et hakir
Date de sortie 27 décembre 2017
Durée 110 mn
Réalisé par Rama Burshtein
Avec Noa Koler , Amos Tamam , Oz Zehavi
Scénariste(s) Rama Burshtein
Distributeur Mag Distribution
Année de production 2016
Pays de production ISRAËL
Genre Comédie sentimentale
Couleur Couleur

Synopsis

À 32 ans, Michal est enfin heureuse : tout est prêt pour qu’elle s’unisse à l’homme de sa vie. Un mois avant le jour J, quand il lui avoue qu’il ne l’aime pas, Michal est au bord de la crise de nerfs. Bien décidée à abandonner son statut de célibataire qui lui colle à la peau, Michal continue ses préparatifs comme si de rien n’était. Elle le sait, car Dieu l’a prévu : elle se mariera le huitième soir de Hanouka. Elle a la robe, le traiteur, le lieu de la fête… après tout, il lui reste 30 jours pour trouver un mari !

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Critiques de The Wedding Plan

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Michal a un peu plus de 30 ans et s’apprête à vivre l’un des plus beaux jours de sa vie : celui de son mariage avec l’homme qu’elle aime. Sauf qu’à un mois pile du jour J, le promis se débine. Mais comme Michal ne veut plus entendre parler de célibat, elle décide de n’annuler aucun préparatif et se donne 30 jours pour trouver celui qu’elle épousera à la synagogue. Le point de départ, plutôt original, laissait espérer une comédie romantique moins balisée. Et pourtant, même si ses rebondissements paraissent un peu trop téléphonés, elle ne manque pas de charme. Celui de sa comédienne principale, Noa Koler et de ce personnage tiraillé entre son attachement aux traditions juives orthodoxes et son désir de s’en émanciper. Un sujet qui touche de très près son auteur, Rama Burshtein, première femme réalisatrice juive ultra-orthodoxe (révélée en 2013 avec Le cœur a ses raisons) à connaître la notoriété en dehors d’un monde… bannissant le concept même de cinéma ! Derrière cette histoire d’une Cendrillon inversée qui cherche chaussure à son pied, on peut donc lire un film aux accents autobiographiques avec pour armes, l’humour et la légèreté. Dommage que Rama Burshtein n’ait pas consenti à quelques coupes au montage car ses 1h50 souffrent de coup de mou et longueurs préjudiciables.