The Black Phone 2
Universal Picture

L'univers horrifique de Joe Hill sera-t-il une nouvelle fois adapté par C. Robert Cargill et Scott Derrickson ?

Universal et Blumhouse ont officiellement annoncé une date de sortie pour Black Phone 2, séquel du film original adapté de la nouvelle de Joe Hill : rendez-vous est pris pour le 27 juin 2025 (date de sortie américaine). Le succès du premier film y serait pour beaucoup. 

Le budget du premier film était de 18 millions de dollars, et son box-office mondial compte plus de 160 millions, ce qui a sans aucun doute motivé les studios à planifier ce second film. En outre, après avoir reçu des éloges de la part des critiques, le studio Blumhouse s'est intéressé de près à ce projet de film d'horreur en envisageant une franchise. En effet, cela ressemble aux habitudes du studio : recycler les films à petit budget en les étirant en franchise, comme avec Paranormal Activity, Insidious et la trilogie Halloween.

À ce jour, le projet paraît encore flou. Il n'est pas sûr que Scott Derrickson soit à nouveau aux manettes de la réalisation. En ce qui concerne l'identité du scénariste, il n'est pas certain non plus que C. Robert Cargill prêtera à nouveau sa plume. Il faut noter que ces deux collaborateurs ont déjà travaillé ensemble en 2012 sur Sinister. Cependant, il n'est pas à exclure leur présence en tant que producteurs. En attendant que la situation s'éclaircisse, C. Robert Cargill s'amuse des potentiels (faux) titres concernant ce second volet.

 

Attention aux spoilers dans le paragraphe qui suit : même si tout n'est que spéculation pour le moment, la présence de Mason Thames et/ou Madeleine McGraw semble probable – en tout cas beaucoup plus que celle d'Ethan Hawke, qui incarnait le tueur du premier opus, compte tenu du dénouement du film.

Des infos concrètes devraient être annoncées prochainement, maintenant que cette date de sortie est officiellement annoncée. Les fans de Black Phone peuvent d'ors et déjà préparer leur été 2025 !

Black Phone : un beau film d’horreur ado, intime et inspiré [critique]