Pan

Comment Peter devint Pan ? Centré sur les origines du personnage créé par J. M. Barrie, le film de Joe Wright raconte l’arrivée d’un orphelin anglais au Pays imaginaire et sa rencontre avec le capitaine Crochet et Lily la Tigresse. Ceux-ci lui dévoileront son destin d’être élu. Ce récit d’aventures délirant démarre dans le Londres de Dickens pour embarquer vers une terre dont l’esthétique évoque, tour à tour, le "Fury Road" de George Miller et les délires pop de Baz Lurhmann – le tout à bord d’un bateau de pirates qui vole entre les bombardiers de la Seconde Guerre mondiale. "Pan" est un produit hybride, étrange et parfois boursouflé, auquel on reconnaît le mérite de ne jamais faire dans la demi-mesure.

Comment Peter devint Pan ? Centré sur les origines du personnage créé par J. M. Barrie, le film de Joe Wright raconte l’arrivée d’un orphelin anglais au Pays imaginaire et sa rencontre avec le capitaine Crochet et Lily la Tigresse. Ceux-ci lui dévoileront son destin d’être élu. Ce récit d’aventures délirant démarre dans le Londres de Dickens pour embarquer vers une terre dont l’esthétique évoque, tour à tour, le Fury Road de George Miller et les délires pop de Baz Lurhmann – le tout à bord d’un bateau de pirates qui vole entre les bombardiers de la Seconde Guerre mondiale. Pan est un produit hybride, étrange et parfois boursouflé, auquel on reconnaît le mérite de ne jamais faire dans la demi-mesure. 

Action, émotion, sensation, le spectacle est total, rebondissant, vertigineux, mené par un gamin épatant – Levi Miller (Pan), la révélation du film.

Joe Wright sacrifie le bon goût sur l’autel du merveilleux. Est-ce un film parfait ? Loin de là. Mais "Pan" est une proposition comme on n’en a jamais : celle de retomber dans l’univers de désordre de l’enfance, un univers si libre qu’on n’a aucune envie de grandir.

Action, émotion, sensation, le spectacle est total, rebondissant, vertigineux, mené par un gamin épatant – Levi Miller (Pan), la révélation du film.

Joe Wright sacrifie le bon goût sur l’autel du merveilleux. Est-ce un film parfait ? Loin de là. Mais Pan est une proposition comme on n’en a jamais : celle de retomber dans l’univers de désordre de l’enfance, un univers si libre qu’on n’a aucune envie de grandir.

Ne pas se couper de son public originel (les 6-13 ans) implique de gommer toute noirceur. Le film - et ses scènes d'action - y perdent en intensité, mais l'émerveillement qu'il suscite suffit toutefois largement à notre bonheur.

Destiné aux enfants et aux jeunes adolescents, "Pan" révèle un récit d’aventures aux images 3D et aux effets spéciaux époustouflants.

Frénétique et magnétique, Pan est un rêve de gosse anarchique et généreux, qui nous explose en pleine figure.

C'est un bon film qui sera apprécié aussi bien par les préados que par leurs parents qui les rejoindront dans les cinés aux quatre coins du pays.

Sa superproduction en met plein les yeux pour notre plus grand bonheur, avec la pincée d'irrévérence qu'il faut.

Une version a cappella du "Smells Like Teen Spirit" de Nirvana se révèle aussi surprenante que marquante, à l’image de cet excellent film d’aventure à découvrir en famille.

La belle Cara Delevingne, entourée de Garrett Hedlund, Amanda Seyfried, Hugh Jackman et Rooney Mara, invite Peter Pan (Levi Miller) à la suivre dans un ballet aquatique irrésistible. C’est de la bulle !

Dépourvu du moindre temps mort, "Pan" est un joli film d’aventure, centré sur un charmant super-héros à l’ancienne, et dont le modernisme tient surtout à une réalisation très créative et pleine de fantaisie (...)

Frénétique et magnétique, "Pan" est un rêve de gosse anarchique et généreux, qui nous explose en pleine figure.

La belle Cara Delevingne, entourée de Garrett Hedlund, Amanda Seyfried, Hugh Jackman et Rooney Mara, invite Peter Pan (Levi Miller) à la suivre dans un ballet aquatique irrésistible. C’est de la bulle !

Ne pas se couper de son public originel (les 6-13 ans) implique de gommer toute noirceur. Le film - et ses scènes d'action - y perdent en intensité, mais l'émerveillement qu'il suscite suffit toutefois largement à notre bonheur. 

Destiné aux enfants et aux jeunes adolescents, Pan révèle un récit d’aventures aux images 3D et aux effets spéciaux époustouflants.

C'est un bon film qui sera apprécié aussi bien par les préados que par leurs parents qui les rejoindront dans les cinés aux quatre coins du pays.

Sa superproduction en met plein les yeux pour notre plus grand bonheur, avec la pincée d'irrévérence qu'il faut.

Une version a cappella du Smells Like Teen Spirit de Nirvana se révèle aussi surprenante que marquante, à l’image de cet excellent film d’aventure à découvrir en famille.

Dépourvu du moindre temps mort, Pan est un joli film d’aventure, centré sur un charmant super-héros à l’ancienne, et dont le modernisme tient surtout à une réalisation très créative et pleine de fantaisie (...)

Il est impossible de nier le fait que Pan est un conte de fées ambitieux. Mais ce qui est catalogué comme "une aventure totalement originale", n'a pas l'air nouveau et encore moins nécessaire. 

Wright ne fait pas dans la légèreté et Pan n'est pas exempt de défauts. Ils n'entament pas l'émerveillement visuel de cette féerie baroque (...)

Le son que vous entendez, c'est J.M. Barrie qui se retourne dans sa tombe.

Que voulait faire Wright ici ? Aucune idée. 

Un récit métaphorique à la violence édulcorée, plein de poésie et d’excentricité, qui marque les débuts du phénoménal Levi Miller dans le rôle-titre face à Hugh Jackman en Barbe-Noire. 

Il est impossible de nier le fait que "Pan" est un conte de fées ambitieux. Mais ce qui est catalogué comme "une aventure totalement originale", n'a pas l'air nouveau et encore moins nécessaire.

Une aventure passable qui offre d'épisodiques lueurs de vraie intelligence.

Wright ne fait pas dans la légèreté et "Pan" n'est pas exempt de défauts. Ils n'entament pas l'émerveillement visuel de cette féerie baroque (...)

Que voulait faire Wright ici ? Aucune idée.

Un récit métaphorique à la violence édulcorée, plein de poésie et d’excentricité, qui marque les débuts du phénoménal Levi Miller dans le rôle-titre face à Hugh Jackman en Barbe-Noire.

Une aventure passable qui offre d'épisodiques lueurs de vraie intelligence.

Le son que vous entendez, c'est J.M. Barrie qui se retourne dans sa tombe.

Qui dans le monde réclamait un prequel à Peter Pan ? Et tout spécialement cette version maladroite et ennuyeuse...

Il y a dans ce film une formule à étudier pour de prochains longs métrages. Prenez tout ce qu'ils ont fait dans "Pan", et faites autre chose.

Ce prequel inutile de Peter Pan est dominé par de l'action chaotique et tapageuse. 

Laissant de côté la fantaisie et l'émerveillement de l'histoire de Peter Pan, le prequel de Joe Wright est un trépidant fiasco bâclé.

Ce Pan, triste et  inintéressant, est un grand 8 de l'enfer.

Guimauve enrichie par le traitement visuel qui s’en remet, pour figurer les apparitions merveilleuses, à un maelström d’effets numériques vidant les formes de leur consistance, pas toujours hideux mais qui n’oublient pas de l’être (...)

Qui dans le monde réclamait un prequel à Peter Pan ? Et tout spécialement cette version maladroite et ennuyeuse...

C'est peu dire que Pan recycle maladroitement les recettes de tout ce qui a triomphé ces dernières années (de Pirates des Caraïbes à Harry Potter), tout en masquant sa vacuité à grands renforts d'effets spéciaux bruyants et de clins d'oeil déjà vieillots.

Ce prequel inutile de Peter Pan est dominé par de l'action chaotique et tapageuse.

(...) le Disney des beaux jours passe à la casserole du contemporain, au feu de laquelle le petit lutin du film de 1953 se réincarne en lardon cramoisi suintant l’huile numérique (...)

Ce "Pan", triste et inintéressant, est un grand 8 de l'enfer.

Cette genèse du Pays imaginaire, alourdie de clins d’œil à des tubes populaires (Nirvana…) place au cœur du récit une prophétie faisant de Peter Pan un miraculé, quelque part entre l’enfant Jésus et Harry Potter. 

Guimauve enrichie par le traitement visuel qui s’en remet, pour figurer les apparitions merveilleuses, à un maelström d’effets numériques vidant les formes de leur consistance, pas toujours hideux mais qui n’oublient pas de l’être (...)

Cette virée à bord du grand huit de Neverland n’est que visuelle : émotionnellement, l’encéphalogramme reste plat. Ni rires, ni larmes, ni empathie, ni enchantement... dommage !

C'est peu dire que "Pan" recycle maladroitement les recettes de tout ce qui a triomphé ces dernières années (de "Pirates des Caraïbes" à "Harry Potter"), tout en masquant sa vacuité à grands renforts d'effets spéciaux bruyants et de clins d'oeil déjà vieillots.

(...) le Disney des beaux jours passe à la casserole du contemporain, au feu de laquelle le petit lutin du film de 1953 se réincarne en lardon cramoisi suintant l’huile numérique (...)

Il y a dans ce film une formule à étudier pour de prochains longs métrages. Prenez tout ce qu'ils ont fait dans Pan, et faites autre chose.

Cette genèse du Pays imaginaire, alourdie de clins d’œil à des tubes populaires (Nirvana…) place au cœur du récit une prophétie faisant de Peter Pan un miraculé, quelque part entre l’enfant Jésus et Harry Potter.

Cette virée à bord du grand huit de Neverland n’est que visuelle : émotionnellement, l’encéphalogramme reste plat. Ni rires, ni larmes, ni empathie, ni enchantement... dommage !

Laissant de côté la fantaisie et l'émerveillement de l'histoire de Peter Pan, le prequel de Joe Wright est un trépidant fiasco bâclé.

Cet énorme film est bourré d’idées. Elles sont toutes mauvaises.

Cet énorme film est bourré d’idées. Elles sont toutes mauvaises.